Le patron est le whodunit. Parineeti Chopra est embarquée dans une histoire où elle suit une jeune femme qui est tuée, jeune femme qu'elle observait depuis son train lorsqu'elle était sur son balcon lors de ses voyages quotidiens. Elle va essayer de comprendre ce qui s'est passé.
Sa propre histoire est compliquée, mariage, trahison, accident alors qu'elle est enceinte, perte de l'enfant, divorce, ce qui provoque chez elle alcoolisme et état toujours à la limite de l'hystérie ou de la dépression.
Cet ensemble, non dénué de suspense, bénéficie d'une mise en scène plate, sans point de vue, et non contributive à la narration. Comme le font beaucoup d'illustrateurs de scénario. Le travail n'a pas été facile pour les quatre scénaristes/dialoguistes crédités, l'articulation entre les deux histoires est plutôt réussie et aucun détail n'est le fruit du hasard. Sur la durée le film est un peu long et pourrait être raccourci de vingt minutes.
En bon film indien, il y a trois séquences chantées, qui font une synthèse sur l'état d'esprit de Parineeti Chopra tout en chantant et avec chorégraphie.